Par Augustin Picquendar, gérant actions européennes, DNCA Finance
Après un début d’année en fanfare, la fin du mois d’avril a été une période plus difficile sur les marchés actions. Ceux-ci ont été déstabilisés par la situation grecque qui continue de susciter beaucoup d’interrogations. Son issue reste incertaine au vu des revirements constants des négociateurs grecs qui soufflent le chaud et le froid en permanence.
La volatilité des marchés a également reflété la déception suscitée par la croissance du premier trimestre aux Etats-Unis. Certes, celle-ci est bien en dessous des attentes (0.2% contre 1% attendu). Mais cet accès de faiblesse est lié, selon nous, à des facteurs conjoncturels. Comme l’an passé, les conditions météo ont eu un impact négatif...
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