Parmi les nombreux défis soulevés par les accords de Bâle II, la mise en place de bases de données de pertes opérationnelles apparaît comme une question récurrente pour les acteurs de la place luxembourgeoise. Des initiatives louables voient ou vont voir le jour, de nombreuses questions sont posées par les risk managers, des interrogations persistent quant à la pertinence des consortiums et bases externes. Ces questions ont une certaine importance pour la place de Luxembourg dont les activités sont fortement marquées par le risque opérationnel. L’article qui suit se veut une contribution à la réflexion collective de l’industrie financière sur certains thèmes.
La gestion du risque opérationnel requiert la mise en place de base de données qui recensent de façon...
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