Le Premier ministre Jean-Claude Juncker et la ministre des Affaires étrangères Lydie Polfer ont réaffirmé la position du Luxembourg sur la crise irakienne qui consiste à considérer la guerre comme ultime moyen et une guerre, si inévitable, devrait être décidée par le Conseil de sécurité des Nations unies. "Je suis triste, mais je ne suis pas résigné", a dit Jean-Claude Juncker ce matin aux radios luxembourgeoises. "Il faut considérer cette crise, qui en est une, comme crise spécifique. Il importe maintenant d’éviter que cette crise cause des dommages durables à la solidité du lien transatlantique et que, bien que momentanée, elle devienne une crise durable".
La ministre des Affaires étrangères Lydie Polfer, pour sa part, a déploré que l'Union européenne n'ait pas su parler...
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