Il est réaliste d'envisager que la Grèce aura besoin d'un soutien supplémentaire avant de pouvoir revenir se financer sur les marchés, a déclaré jeudi Jeroen Dijsselbloem, le président de l'Eurogroupe. Certains responsables européens estiment qu'Athènes aura besoin de 10 à 11 milliards d'euros de plus à partir du deuxième semestre 2014. Mais plusieurs pays de la zone euro sont réticents à l'idée de lui accorder ce nouveau soutien après deux plans successifs d'un montant global de 240 milliards. "Pour ce qui est du besoin éventuel d'un troisième programme pour la Grèce, il est clair qu'en dépit des progrès récents, les problèmes de la Grèce ne seront pas complètement résolus d'ici 2014", a dit Jeroen Dijsselbloem au Parlement européen.
"Il est réaliste de supposer qu'un...
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