A l’issue de la réunion "bipartite", Jean-Claude Juncker a souligné devant la presse que les discussions "se sont inscrites dans le cadre d’une quête commune d’éléments permettant d’améliorer la compétitivité des entreprises luxembourgeoises". Dans son analyse, il est tout à fait logique que le gouvernement, qui a constaté "durant les dernières années un recul de la compétitivité du Luxembourg" fasse des propositions au patronat pour éviter que la compétitivité luxembourgeoise ne se dégrade durant l’année 2011 et que les entreprises ne doivent porter des coûts supplémentaires découlant de décisions prises au niveau politique. Jean-Claude Juncker a tout d’abord proposé aux représentants du patronat de compenser le coût salarial supplémentaire découlant de l’augmentation du salaire social...
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