- Le chômage continuera à augmenter jusqu’en 2014
- Jusqu’en 2016, les investissements des entreprises demeureront bien inférieurs au pic d’avant crise
- Une politique d’assouplissement quantitatif (QE) complète constitue une solution potentielle pour remédier à la crise
Alors que les opérations de rachats effectuées par la Banque centrale européenne ont significativement réduit le risque d’éclatement de la zone euro à court terme, l’édition automnale du Ernst Young Eurozone Forecast («EEF») constate qu’une réponse plus globale à la crise n’a pas encore permis de changer les règles du jeu, élément indispensable à un rétablissement de la stabilité à long terme. La situation va continuer à empirer avant de s’améliorer, la...
|