Les banquiers dans le passé ne se souciaient guère de lenvironnement. Lenvironnement était une ressource inépuisable et qui ne coûtait rien. Mais depuis le jour où certaines pollutions se sont retrouvées retrouvaient dans la colonne Passif des bilans, les choses ont changé. Les désastres de Bâle, de Bhopal et de Seveso ont eu des conséquences financières dramatiques pour les sociétés chimiques impliquées, mais sans aller jusqu'à ces cas extrêmes, dautres petites catastrophes ont entraîné leur lot dimpacts financiers : le Coca-Cola contaminé en Belgique, les actions en justice des ouvriers de lamiante contre St-Gobain, les aliments pour poulets contenant des dioxines
Lassainissement de décharges illicites et de...
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