«On va s’amuser ». Prophétiques les propos du Président Charles de Gaulle, opposé à l’entrée du Royaume-Uni au sein du Marché commun en 1963 ? Plus de 50 ans après, si les tribulations du Brexit amusent ou désabusent, elles empoisonnent assurément la vie des investisseurs depuis plus de 3 ans, les détournant des actions britanniques. Mais le dénouement de ce feuilleton sans fin pourrait bien changer la donne.
Rappelons que si son poids s’est allégé dans les indices – un quart du MSCI aujourd'hui contre 33% avant juin 2016 – le marché britannique reste de loin le premier d’Europe.
Ses atouts ? Profond, il est aussi très diversifié. Les fonds de private equity ne s’y trompent pas, multipliant depuis 6 mois les achats de belles histoires...
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