Jean-Claude Juncker a reconnu mardi 7 mai deux grandes "erreurs" lors de son mandat de cinq ans à la tête de la Commission européenne : son silence lors de la campagne du référendum sur le Brexit et sa réaction trop tardive au scandale des Luxleaks. Le patron de l'exécutif bruxellois a fait un bilan globalement positif devant la presse de sa présidence, qui s'achèvera fin octobre, soulignant en particulier la relance des investissements et la baisse du chômage dans l'UE depuis 2014.
Il a toutefois reconnu deux "erreurs", dont sa décision de ne pas intervenir lors des débats enflammés qui ont marqué la campagne du référendum au Royaume-Uni en 2016, qui a mené à la décision du Brexit.
"J'ai écouté le gouvernement britannique, j'ai écouté M. Cameron ...
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