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Le papier fait rarement l’objet de longs débats en marketing direct. On se contente de lui demander de se faire léger et peu coûteux... L'avis est unanime tant parmi les annonceurs et les concepteurs des messages que chez les responsables de fabrication : le choix du papier fait rarement l'objet de longs débats en marketing direct. Et personne ne semble le regretter. Après avoir établi une courte liste de supports aptes à répondre aux critères de poids, de coûts et d'impact graphique qui prédominent lors de la conception du message, on s'en tient au couché mat, à l'offset et aux deux ou trois éventuels papiers de création qui ont fait leur preuve.
Les tests courageux en situation industrielle sont souvent payants mais rarissimes. Et on le comprend volontiers, les donneurs d...
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