Rassurés par la bonne santé de l’économie, un dynamisme inflexible des fusions et acquisitions et une chute des prix pétroliers, les bourses poursuivent allègrement leur progression.
Aux États-Unis, les ventes au détail et les chiffres de l’emploi dépassent les attentes. En Europe, la croissance semble confortablement installée avec un PIB estimé à 2,7% en 2006 (lire en page 2). Malgré quel-ques incertitudes à l’aube de la saison des résultats du 4ème trimestre 2006, l’optimisme boursier reste de mise, particulièrement dans le secteur technologique. En revanche, les taux montent faisant fléchir les indices obligataires. Face à un marché américain de l’immobilier en voie de stabilisation, la probabilité d’une baisse des taux américains s’amenuise.
La Banque...
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