Depuis la crise financière, le Luxembourg avait espéré refaire son entrée dans le top 10 du «World Competitiveness Yearbook» (WCY) de l’IMD. L’on doit admettre qu’il n’en était jamais très loin. L’année dernière, le moment était venu, le pays ayant connu un rebond spectaculaire pour se classer 6e parmi 61 pays.
Aux indicateurs de nature «hard data» (données statistiques observées) s’étaient juxtaposées des annonces politiques ambitieuses (référendum sur le vote des étrangers, projet de loi «omnibus», espoirs quant à une réforme fiscale renforçant l’attractivité du Luxembourg ou encore les nombreuses annonces dans les domaines du logement, des transports publics et de l’aménagement du territoire) qui avaient inspiré l’optimisme des chefs d’entreprise, sachant que le WCY...
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