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Décidément, les marchés hésitent à s’accorder du temps pour souffler. Il est vrai que le mois de janvier est souvent un mois qui s’achève sur un bilan positif. Mais après l’envolée des indices boursiers lors des trois derniers mois de l’année écoulée, on aurait pu s’attendre à ce que des ventes bénéficiaires fassent leur apparition. Il y en a bien eu ça et là, favorisées par la faiblesse des marchés obligataires à l’approche de la réunion de la Réserve fédérale américaine (Fed). Mais très vite de nouvelles prises de positions ont repoussé à la hausse les principaux indicateurs boursiers. Pourtant, jamais autant que maintenant, on a craint un retour des tensions inflationnistes. Parmi les premiers à s’en soucier, le président de la Réserve fédérale américaine, Alan Greenspan, a, une...
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