Birgitte Müller quitte chaque lundi matin son domicile de Zurich pour prendre l’avion et rejoindre son travail dans une banque internationale à Francfort. Son vol de 7 heures du matin arrive à Francfort aux environs de 8h15 et la plupart du temps elle est à son poste à 9 h du matin. Elle partage un appartement avec une collègue durant la semaine bien qu’elle soit susceptible de se rendre à Londres pour quelques jours et en prime à New York pour un déplacement occasionnel. Quand elle en a la possibilité, elle retourne à Zurich le jeudi soir et travaille à la maison le vendredi. Quelquefois elle est partie de chez elle pour deux ou trois semaines d’affilée. Birgitte est juste un exemple de la capacité croissante à la mobilité de la main d’œuvre qualifiée à travers toute l’Europe. Aujourd’hui...
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