Le service de révision de l'administration des contributions directes fonctionne au ralenti et c'est presque un euphémisme. Un service anti-fraude commun aux trois administrations fiscales luxembourgeoises, que le premier ministre a appelé de ses voeux il y a plus d'un an, n'y changerait sans doute pas grand chose.
Une motion présentée par Jeannot Krecké, le chef de la fraction socialiste au parlement, lors du débat public sur la fraude fiscale au Luxembourg qui a été discuté à la fin du mois d'octobre, recommandait la création d'un service commun anti-fraude composé de fonctionnaires du Service de Révision de l'Administration des contributions directes, du contrôle extérieur de la TVA de l'Administration de l'Enregistrement et des Domaines et du service de l'Inspection d'audit de l...
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