Par Emma DONER, Matt LANSTONE, Matthieu CHATEAU, Capital Group
Le dérèglement climatique met les investisseurs face à deux nouveaux types de risque : le risque de transition (coût associé au passage à une économie sobre en carbone) et le risque physique (coût découlant de l’augmentation des sécheresses, des inondations, des événements météorologies extrêmes et de l’élévation du niveau de la mer). Le stress hydrique est l’un des plus importants risques physiques liés au changement climatique, et les investisseurs doivent en tenir compte.
Bien qu’il s’agisse d’événements isolés, la sécheresse et la pénurie d’eau ont démontré leur capacité à réduire, voire à interrompre rapidement toute production, à engendrer l’annulation de projets en phase...
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