Les "Panama Papers" et leur cortège de révélations embarrassantes depuis dimanche 3 avril poussent les grands pays à afficher leur volonté de combattre l'opacité fiscale, et surtout de mettre au pas le mouton noir, le Panama, qui n'entend pas se laisser faire.
"Malheureusement, le Panama est un peu trop habitué à faire des allers-retours, à faire le gentil, puis à faire le méchant" dans les instances internationales chargées de lutter contre l'évasion fiscale et le blanchiment d'argent, a déclaré mercredi 6 avril le ministre français des Finances, Michel Sapin, à l'antenne de la radio française Europe 1.
"Ceci ne peut plus durer", a-t-il ajouté. Et les choses pourraient commencer à bouger rapidement, le sujet devant être abordé dans les prochains...
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