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En plus de lenquête de Bruxelles sur le non-remboursement de 450 millions davances de lEtat, de comptes dans le rouge et dune dette abyssale, Bull va devoir compter un nouvel obstacle : celui des porteurs dobligations. Réunis dans un comité dinvestisseurs, ces porteurs dobligations affirment représenter 40% des 200 millions deuros de dette obligataire du groupe. Conscient que ce fardeau est trop lourd à porter pour le groupe informatique, ils proposent de transformer leurs titres en actions, dinjecter quelques dizaines de millions deuros dargent frais et de détenir ainsi un peu plus de la moitié de la société. Avec à terme lespoir de trouver la liquidité de leur investissement, via -- pourquoi pas ? -- une...
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