Le but de la deuxième phase des tests à grande échelle n’est pas d’éradiquer le virus SARS-CoV-2, mais plutôt de rester flexible et de réagir dès que des infections sont détectées. Il s’agit de faire un monitoring et de contrôler la situation en gardant le nombre d’infections au niveau le plus bas possible, a expliqué ce mardi un représentant du ministère de la Santé aux députés réunis en Commission de la Santé et des Sports. Le deuxième projet de «Large Scale Testing» s’étend sur une période de sept mois et demi et devrait coûter 60 millions d’euros. Cette somme nécessite l’aval de la Chambre des Députés. Ce mardi, les députés ont examiné le projet de loi 7628. Pour comparer - la première phase, qui dure neuf semaines, a coûté 32 millions d’euros. Ce premier projet viendra à échéance...
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