La première banque allemande a dévoilé un bénéfice net de 397 millions d’euros au titre de l’année 2002, à comparer avec les 167 millions d’euros dégagés en 2001. Cette performance ne s’explique que par un gain exceptionnel de 760 millions d’euros lié aux cessions des participations industrielles (notamment les 9,3% dans Deutsche Boerse, les 7,5% dans Continental, les 6,1% dans Suedzucker, et les 7,5% dans Buderus).
Avant impôts, le bénéfice ressort à 3,54 milliards d’euros, en dessous de la fourchette de 3,7 à 4,1 milliards d’euros prévue par les analystes. Une importante provision de 1,9 milliard d’euros pour risque de crédits, a grevé les résultats de la Deutsche Bank. Par ailleurs, l’établissement a passé une provision de 300 millions d’euros pour sa filiale de...
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