A ce stade de la journée, la Banque centrale européenne (BCE) n'est pas allée sur le marché obligataire pour acheter des obligations souveraines italiennes après la démission du président du Conseil Matteo Renzi dans la foulée de sa défaite cinglante au référendum sur la réforme constitutionnelle organisé dimanche.
Cette décision de Matteo Renzi, qui avait été fortement redoutée par les investisseurs en raison des incertitudes politiques qu'elle crée dans la troisième économie de la zone euro, n'a d'ailleurs pas eu l'impact négatif escompté puisque les Bourses européennes, y compris celle de Milan, sont bien orientées et que l'euro ne perd que 0,2% face au dollar.
Sur le marché obligataire, le rendement des obligations souveraines italiennes à 10 ans...
|