Nous faisons le point ce mois-ci sur l'évolution et la structure du marché de l'énergie. Dans un contexte mondial atone, la demande en énergie s'est ralentie et l'offre s'est accélérée créant un déséquilibre entraînant un krach sérieux sur les prix. Les investissements se sont arrêtés net, des puits ont été fermés mais le 1.3Mbd cédé par les pétroliers US a vite été récupéré par les pays de l'OPEP dont l'Iran. L'accord surprise consistant à limiter la production a fait bondir le prix du baril, mais sa mise en œuvre sera problématique quand il faudra définir les quotas de chaque pays.
L'arrêt des investissements signifie qu'on n'a pas découvert une goutte de pétrole ou de gaz supplémentaire, et on a pompé uniquement sur les réserves qui sont passées de 55 à 51 ans et...
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