En s'organisant en Union des Entreprises Luxembourgeoises, le patronat luxembourgeois a crée une véritable force de frappe en réponse à la puissance de tir des grandes organisations syndicales. Alors que les uns arrivaient en ordre dispersés, notamment lors des grands rendez-vous nationaux que sont les Tripartites; les autres, côté syndical, nettement plus solidaires, montraient leurs biscoteaux, influençant avantageusement les décisions gouvernementales…
Il y avait bien le comité de liaison patronal, mais, avec son semblant de structures rassemblant les patrons luxembourgeois, et de l'aveu même de Joseph Kinsch, président de l'UEL, n'apparaissait pas comme un "partenaire clairement identifié".
"Nous aurons sans doute plus de poids devant le Premier ministre Jean-Claude...
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